Dans tes yeux je vois le
monde tout en couleur
Lumineux comme un tableau
de William Turner,
Je m’y perds parfois quand
j’ai mal et que je pleure
Et ma peine soudain se
transforme en douceur.
Tu sais mon mal d’être et tu
sais me l’arracher,
Tu me tiens la main sans
jamais me lâcher
Et s’il t’arrive
quelquefois de te fâcher,
C’est mon venin que tu
prends pour mieux le cracher.
Tu effaces pour moi la
laideur de ce monde
Et quand tu m’entraines,
mon amour, dans sa ronde
Il est plus léger qu’une
bulle de savon.
J’ignore ce que me réserve
l’avenir
Mais je sais seulement,
puisqu’il faut mourir,
Que je le ferai en
prononçant ton prénom.
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