Quand je ne serai plus
pour toi qu’un souvenir,
Comme une vague image au
fond de la mémoire
Qu’on devine à travers le
temps qui se déchire
Quand la nostalgie vous
rattrape certains soirs…
Quand je serai fantôme au
pays de tes rêves,
Réminiscence floue d’un
passé qui se meurt
Hantant le temps d’antan
qui jamais ne s’achève
Et reprend vie à chaque
battement de cœur…
Quand tu ne sauras plus le
prénom que je porte,
Enfoui trop loin dans les
décombres de l’oubli,
Que tu m’effaceras de toi
en quelque sorte,
Quand je n’aurai plus de
visage ni de corps
Pas plus que n’auront de
sens ces mots que tu lis,
Alors, oui, ce jour là,
vraiment, je serai mort.
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