C’est un nom gravé dans le
marbre
En lettres d’or presque
effacées.
La tombe est au pied d’un
grand arbre,
Dieu comme le temps a
passé !
On entend le chant des
oiseaux,
Dans le lointain des
aboiements
Et la musique d’un
ruisseau
Qui glougloute
discrètement.
C’est paisible, on est
loin du monde
Et des agitations
humaines,
On sent couler chaque
seconde
Ainsi que le sang dans nos
veines…
Je te parle tout doucement
De la pluie ou bien du
beau temps,
De mes joies ou de mes
tourments
Et je sais bien que tu
m’entends.
Quand au soir le soleil
pâlit
Et que de rentrer sonne
l’heure,
Le cœur plein de
mélancolie,
Les mains dans la face, je
pleure…
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